Chere madame, un amoreux
Subjugez par la brillante feu
Qui brûle san çesse dans vos beaux yeux
Sur çe jour
Sucre a l’Aämour
Ose vous addressez
Il est vrai
Que je suis François
Et votre langue que je n’entends pas
Mais la langue de mon pays
Si bien vous entendez
Nous ne querrions point pour cela
Hate toi donc a benifisse
Un fidele Valentine
Qui vous a long temps aime
O Nymphe divine
Constance