Miss Maria Denman

Miss Porden

Chere madame, un amoreux
Subjugez par la brillante feu
Qui brûle san çesse dans vos beaux yeux
  Sur çe jour
  Sucre a l’Aämour
  Ose vous addressez
Il est vrai
Que je suis François
Et votre langue que je n’entends pas
Mais la langue de mon pays
Si bien vous entendez
  Nous ne querrions point pour cela
  Hate toi donc a benifisse
  Un fidele Valentine
Qui vous a long temps aime
  O Nymphe divine

Constance